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Chauffage et climat - Paris sous la neige

Français en transition

La France a compris bien avant les sommets étatiques en tous genres, alertant de faits avérés et déjà tant relatés et étayés par de nombreuses instances ayant autorité, qu’elles soient scientifiques, humanitaires, relayées et soutenues par des associations spontanées de volontaires dévoués, qu’un développement et son maintien durable repose sur l’implication de tous les citoyens.

Les institutions, les industriels et tous les acteurs de nos économies mondialisées bancales sont majoritairement pleinement responsables du réchauffement climatique et de la dégradation de l’environnement.

Les citoyens constituent une force active de changement pour inverser ce problème et peuvent contribuer de façon significative à la solution de l’endommagement de la planète par leurs actions. Des millions de personnes peuvent en effet, par leurs gestes quotidiens, être très efficaces. Par leur consommation plus responsable, ils peuvent agir et obtenir des résultats positifs en contraignant les entreprises à s’engager dans le respect de l’environnement. En favorisant l’économie de l’eau et des énergies disponibles, en choisissant le tri sélectif et en refusant la multiplication des déchets, l’impact sur l’environnement ne peut être que bénéfique. Désormais, chacun de nous peut, en s’unissant aux autres, changer le monde en dépassant le phénomène de mode associé au sujet de l’environnement et de la protection de notre chère planète.

Ours polaire en danger
Ca chauffe pour les ours – Image © Jenny E. Ross/Corbis

L’évidence du réchauffement climatique n’est plus à démontrer, la France n’est certes pas concernée par l’arrivée des ours polaires dans ses rues, comme nos voisins de l’Arctique, cependant on continue à construire chaque année 3 % des nouveaux logements en zone inondable, en ayant pleine connaissance de l’augmentation de l’intensité des pluies torrentielles dans ce climat qui se réchauffe et où la baisse des émissions de gaz à effet de serre, pour éviter d’être piégé sur des territoires vulnérables est indispensable.

L’objectif est désormais d’utiliser le plus rapidement possible les énergies renouvelables pour endiguer les fameuses émissions de carbone et de multiplier le stockage du dit carbone dans les sols et forêts.

En ce sens, une transition est en cours et des changements profonds de consommation prennent corps à travers de nombreuses initiatives citoyennes louables, lesquelles adoptent, en positivant et en étant proactives, ces actions comme de véritables opportunités permettant de régénérer l’économie et la communauté locale, ainsi que l’écologie, non plus comme l’étendard de quelques allumés hurluberlus, mais comme une évidence d’un retour au sens perdu et premier de la nature, inhérente à notre condition humaine.

Ces transitions naissantes dans l’hexagone rapprochent les communautés et sont l’occasion de permettre de rêver, pour libérer la capacité de l’Homme à planifier et construire un monde nouveau et meilleur, à travers un mode de vie plus satisfaisant.

Ces mouvements de transition permettent aux gens de contrecarrer directement les défis imposés par le changement climatique, les pics pétroliers et le système économique endetté, d’une façon qui leur est propre et prenant sens pour eux et leur communauté locale.

Au lieu de faire l’autruche, cette transition embrassée en grand nombre permet à tout un chacun d’adopter une attitude audacieuse, courageuse et optimiste pour le future, en pensant le type de monde dans lequel ils souhaitent vivre et en menant des actions pour en faire une réalité.

Pour y contribuer, tout en conservant son confort de vie, cela commence par nos gestes au quotidien, si l’on prend le seul exemple des modes de chauffage, en choisissant des températures différentes dans les pièces de notre habitat.

Idéalement 19°C à 21°C au plus dans la journée, pour une maison plus saine, non surchauffée, ce qui permet de ressortir avec plaisir ces pulls oubliés dans nos armoires et 16°C est recommandé pour une chambre pour une nuitée confortable. En baissant la température d’un degré, vous pourrez économiser jusqu’à 7% sur ses dépenses.

Chauffage idéal
Températures optimales

En premier lieu l’isolation de votre lieu de vie sera un facteur déterminant pour vous permettre à la fois de réduire les émissions de gaz à effet de serre de votre chauffage et d’économiser sur vos factures énergétique.

En isolant, outre les murs et le toit, mais aussi en ayant des fenêtres adaptées et par l’utilisation de vos volets, avec ou sans l’ajout de double rideaux épais, des boudins pour diminuer les courants d’air au bas des portes, tous ces éléments y contribueront aussi et si votre chaudière s’essouffle, la changer pourrait vous faire économiser jusqu’à 30% comparativement à un vieux modèle. En prenant ces mesures, votre déperdition thermique en sera d’autant minime.

Si vous avez ou pouvez installer un programmateur pour gérer vos besoins, cela est encore mieux, particulièrement si vous bénéficier d’un abonnement d’utilisation des énergies avec l’option heures pleines et heures creuses.

Le bon entretien de vos radiateurs ; ceci comprend leur nettoyage en les dépoussiérant ; en effet la poussière entraine une déperdition de rendement de 10% et les purger aussi au moins une fois tous les six mois, avant et au terme de leur utilisation, pour vous assurer de leur performance.

Si vous avez la possibilité d’installer des panneaux réflecteurs au dos de vos radiateurs, cela augmente aussi leur efficacité.

Pour vous assistez dans votre démarche, notre contribution passe par des appareils de chauffage performants et variés que vous pouvez sélectionner ici

En savoir plus :

https://www.mychauffage.com/blog/astuces-pour-reduire-sa-facture-de-chauffage

https://chauffage.ooreka.fr/chapitre/282

https://alternatiba.eu/

https://www.agirpourlenvironnement.org/

https://www.ademe.fr/

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